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Vous pouvez télécharger les articles d’Ouest-France (texte ci-dessus) et du Télégramme
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COMMUNIQUE DE PORDIC ENSEMBLE
Le 12 décembre dernier, après la présentation, par la municipalité, du projet de PLU, de très nombreuses interrogations se sont exprimées ayant trait aux nouvelles normes architecturales. Au-delà des règlementations législatives et supra-communales qui s’imposent, la municipalité propose des contraintes architecturales extrêmement sévères. Ainsi seraient interdits, pour les parties centrales des nouvelles constructions, les toits à pente douce, les toits plats et les toits arrondis. Dans certaines zones, le bardage bois ne serait plus possible sur le corps principal des maisons et les fenêtres devraient être plus hautes que larges. Les gouts de chacun peuvent légitimement varier, on peut aimer ou pas les maisons modernes mais construire de telles maisons serait dorénavant impossible même si les maisons avec toit à pente douce sont beaucoup plus économes en énergie que les autres, sans parler des combles énergivores des habitations à toit en pente entrainant des ponts thermiques générant un surcoût de consommation. Par ailleurs, à volumétrie égale, elles ont un coût moindre ; ce qui est loin d’être négligeable pour les primo-accédant. D’autres éléments du projet de PLU sont également tout à fait discutables.
Pordic Ensemble espère, comme le maire s’y est engagé, que la municipalité fera preuve d’ouverture d’esprit en revenant sur certaines des dispositions envisagées. Il en va de l’attractivité de Pordic, en particulier auprès des jeunes qui souhaitent s’y installer
Ci-dessous, deux articles relayant le communiqué de Pordic Ensemble
Article PLU PE Le Télégramme 23 12
Article PLU PE dans Ouest-France du 21 12
Ci-dessous, article rendant compte de la réunion du 12 décembre organisée par la municipalité.
Article sur le PLU dans OF du 18 décembre rendant compte de la réunion du 12 décembre
L’idée de service public s’évapore, l’ agglo refuse un arrêt du bus à 7 h 30 pour les scolaires à Tréméloir.
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Télécharger l’article d’Ouest-France (9 avril 2018) ci-dessous:
Vous pouvez lire ci-dessous l’article publié dans Ouest-France Dimanche le 25 février ainsi que dans Le Télégramme du 2 mars
OF Fil à linge 23 février A St Exupery
Article Le Télégramme 2 mars pour action quartier des écoles 23 février
Si vous souhaitez obtenir la synthèse des avis émis par les passants, sollicitez nous par le biais de l’onglet « contact » de la page d’accueil.
Cliquez sur cette page pour plus lisibilté Article paru dans Ouest-France le 10 février
Ci-après l’article du Télégramme:
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Opération « fil à linge » au quartier du Moulin à Vent (article Ouest-France) et une initiative sur le projet de PLU (photo Le Télégramme) ont eu lieu le samedi 27 janvier.;
Les avis et propositions émises par les habitants du quartier du Moulin à Vent ont donné lieu à une synthèse si vous souhaitez vous la procurer, sollicitez par le biais de l’onglet « contact » de la page d’accueil.
Ci-dessous article du Télégramme paru le 30 janvier: cliquez sur le lien ci-dessous:
Article Le Télégramme du 30 janvier pour action du 27 janvier
SAMEDI 27 JANVIER à partir de 10 h 30
dans le quartier du Moulin à Vent et place Emile Guéret
L’association citoyenne Pordic Ensemble sera présente pour des initiatives « fil à linge ». Une information sera donnée sur les enjeux du PLU. Il s’agit, aussi, de recueillir vos avis sur ce que vous souhaitez changer dans votre quartier et/ou dans votre commune (notre association a déjà réalisé plusieurs opérations de ce type avec succès).
Une restitution sera organisée et la synthèse de vos propositions sera portée à la connaissance des élus.
Cette opération sera reconduite dans d’autres quartiers de Pordic.
Serge Le Quéau, Edith Le Goffic, Pascal Brigand et René Louail
La salle Conort était comble, les 70 participants ont été très émus par les témoignages des victimes des pesticides de Nutréa-Triskalia tant ceux présentés dans le film « Les sentinelles » que par ceux exposés « en direct » par Edith Le Goffic et Pascal Brigant. La gravité des maladies, les drames vécus par les salariés victimes et leur familles, les multiples obstacles rencontrés pour faire valoir la reconnaissance de leurs maladies comme maladies professionnelles ont stupéfié l’auditoire. Serge Le Quéau et René Louail ont expliqué les raisons sociales, politiques et juridiques qui font du combat des victimes des pesticides un parcours du combattant qui est loin d’être terminé. Les nombreuses questions venant de la salle ont permis d’évoquer la responsabilité de différents acteurs dans cette affaire : la direction de Triskalia, la MSA, le parquet, les services de L’Etat et les élus. Beaucoup d’échanges ont eu lieu sur le modèle de l’agriculture intensive qu’il est temps de remettre en cause. La validation par la commission « pétitions » de La Commission Européenne des pétitions signées en soutien aux victimes des pesticides constitue une note d’espoir puisque une enquête européenne va être diligentée sur ce dossier.
Débat 21 novembre Pordic, compte rendu paru dans Ouest-France. Cliquez ici.
Débat 21 novembre Pordic compte rendu Le Télégramme. Cliquez ici.